- Ce sujet contient 21 réponses, 5 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par , le il y a 1 année et 7 mois.
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Sujet
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Toujours difficile de se faire une opinion sur les nouveautés rien qu’en regardant les essais sur la toile Pas facile non plus de faire la part des choses entre les faux essais manifestement sponsorisés par les marques et les vrais Alors, comme je viens d’acquérir ce gilet airbag, et que je ne suis pas le seul sur ce forum à avoir franchi le pas, un tel sujet a toute sa légitimité J’espère que je serai pas le seul à dire ce que j’en pense Le but n’est pas de disserter sur le bien-fondé ou pas d’un tel accessoire de sécurité, ni sur son coût, car chacun fait ce qu’il veut ou ce qu’il peut, mais d’être objectif sur les qualités et les défauts de ce produit, que je n’ai pas encore eu le loisir de tester sur la moto, et que je souhaite ne pas avoir besoin de solliciter En effet, si l’on espère toujours ne jamais en avoir besoin, il faut le porter à chaque sortie, et pour cela, ce port ne doit pas être synonyme de calvaire. En clair, il doit se faire oublier. Première sensation, c’est confortable, plutôt ajusté, bien conçu, mais on sent bien qu’on a le gilet sur le dos, car son poids n’est pas négligeable. 1900 g, ce n’est pas rien, essentiellement dans le haut du dos, là où sont logés le module électronique de gestion et les cartouches pyrotechniques. Pour le mettre, il est nécessaire d’enlever la dorsale d’origine du blouson, qui ferait une trop grosse surépaisseur. Le gilet est doté lui même d’une dorsale très protectrice. Ma dorsale pesant 400 g, le poids en plus n’est donc que de 1500 g On doit garder a minima les protections coudes-avant-bras, que le gilet ne couvrira pas en cas de déploiement, et si possible, mais ce n’est pas obligatoire, les protections des épaules (celles-ci sont couvertes par l’airbag) En cas de déploiement, l’airbag offre d’après Alpinestars la protection équivalente à 18 protections de niveau 1 superposées. Donc, l’enfilage du blouson permet de voir que ce gilet passe très bien en dessous, et je ne ressens aucune gène particulière Seule l’épaisseur du système dans le dos fait ressembler à Quasimodo, qui est un personnage laid, mais sympathique. A priori, donc, pas de gène particulière au port de ce gilet Sur le plan du fonctionnement, le gilet est autonome, il dispose d’une batterie lithium qui doit être chargée La mise en fonctionnement du système est on ne peut plus simple, il suffit de fermer la fermeture éclair et de rabattre une patte par dessus, exactement comme n’importe quel vêtement Le gilet passe alors en mode « vérification » avant de verrouiller le mode « activation’, symbolisé par une led verte, rien de plus logique. tant que la led verte n’est pas allumée, le gilet n’est pas activé. A tout moment, le fonctionnement du gilet, la charge de la batterie peuvent être visualisés sur l’application pour téléphone mobile, via Bluetooth
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